La rue du Sérail est l'incarnation des Deux Aras: sombre, tortueuse, aux murs immenses et aux maisons basses, elle est pourtant une rue très habitée, même si ses habitants aiment à se faire silencieux. Des sorciers en cape y marchent parfois côte à côte, sans un mot, leurs bottes semblent survoler de quelques millimètres la surface des pavés tant leurs fers ne troublent pas la quiétude inquiétante des lieux. La rue du Sérail ressemble à ces "coupes gorges" moldus hérités de vieilles histoires, et souffre d'une mauvaise réputation. C'est le repère des bandits, ou des incompris du système français. On y trouve parfois les dealers de reliques magiques ou de potions interdites.