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 (marien) uneasy lies the head that wears a crown

Vers les étoiles, à travers les difficultés
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Marien Leblois
Marien Leblois
❝ HIBOUX : 138
❝ AUTRES VISAGES : (rose weasley ; palmyre) présentation ; liens ; insta
❝ CÔTE DE POPULARITE : 3380
❝ MIROIR : dylan o'brien.
❝ CREDITS : © darkdreams.
❝ ÂGE : 23 ans.
❝ STATUT SOCIAL : dauphin.
❝ OCCUPATION : uc.

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Marien Auguste Leblois
le silence est un ami qui ne trahit jamais
Carte d'identité NOM, PRÉNOM(S) • Leblois le façonne, le définit. trace le fil complexe d'un avenir intrinsèquement lié au pouvoir. poids de l'étiquette et des innombrables attentes d'une part, mais fierté indicible de l'autre, et volonté farouche de relever le défi que représente ce patronyme pétri d'exigences. qu'on le comprenne ou non, il pourrait tout sacrifier, pour ces sept lettres gravées à même son âme à la naissance. Marien, une renommée à construire. une réputation qui se dessine au fil du temps et des actions, mais une maladresse mal comprise, constamment jugée. il n'est pas le Geodor adulé, la Solange affectionnée – mais l'homme trop rigide, le prince imposé, le dauphin trop distant, difficile à cerné. il y a un garçon blessé sous la carapace imperméable du roi en devenir, et peut-être est-ce précisément la raison pour laquelle il peine à concilier ses deux identités : son manque de confiance en autrui, la méfiance induite par les pertes et trahisons annihilent sa volonté d’œuvrer pour ce peuple qu'il peine à approcher et à comprendre. vient Auguste, enfin. un souvenir, mémoire commune d'un peuple. plus grand roi que grand-père, puisque trop peu connu. absen, mais modèle pourtant : on mentionne leurs traits incroyablement similaires et leurs caractères absolument divergents, fatalement. Marien craint de ne pas tenir la comparaison.
AGE, NAISSANCE • 23 ans, né le 8 juillet 1999. date significative qui a contribué à faire de Marien le favori du roi : né juste avant sa jumelle le jour même où leur ancêtre Pierre de Maison Boède fut élu roi sorcier par le peuple en 1832, il s'est vu attribuer par son oncle l'oracle prometteur formulé par le Voyant auquel la famille royale accorde sa confiance. c'est conformément à la coutume et à l'absence d'enfants issus des unions de Géodor que Marien, à l'instar de ses sœurs, a vu le jour entre les murs de la Maison Royale, dite Palais de l'étoile, au cœur de la capitale. splendeur des jardins constamment épiés à distance, mais protégés par des montagnes de sortilèges d'illusion et de barrières pour conférer aux occupants des ailes résidentielles une rare intimité.
NATIONALITÉ • française, sans doute aucun – la caste élitiste à laquelle il appartient se veut globalement pure souche et ne souffrirait pas d'être gouvernée par un sang étranger.
ASCENDANCE • purement humaine, il ne saurait en être autrement.
TITRE • il est de sang royal. des proches du défunt roi Richard II, lui-même assassiné au terme de la révolution en 1832, il ne restait personne ; c'est parmi sa parenté lointaine qu'ont alors été désignés de potentiels successeurs. élu par le peuple, Pierre de Maison Boède a, quelques générations plus tard, laissé place à une héritière — épouse Leblois. le choix du peuple et l'ascendance mystique de ce nom que l'on associe à la Dame du Lac ont jusqu'à présent conféré une légitimité aux Leblois que les autres familles titrées n'ont pas tenté de remettre en doute. certains anonymes, cependant, semblent avoir de moins en moins de scrupules à afficher leurs griefs contre le régime. nommé Dauphin de France, soit premier dans l'ordre de succession, il jouit moins de gloire qu'il ne porte le poids des devoirs liés au pouvoir. d'aucuns critiqueraient le choix arbitraire de Geodor : Marien n'était qu'un nouveau-né lorsque la décision a été établie sur la base des superstitions chère aux sorciers et de l'intuition du roi. la place, cependant, est éjectable et l'ordre ne cesse d'évoluer, forçant chacun à faire ses preuves.
ANNÉE D’ÉTUDE ET CURSUS • huitième année — soit deuxième année de GRAMMES. les jumeaux ont été inséparables au long de leur scolarité, ayant tous deux choisis le cursus social & politique. Marien est, évidemment, profondément ancré dans les rouages de la monarchie et se doit d'en saisir toutes les spécificités afin de parvenir à les maîtriser à son tour. en guise d'options, il a choisi la communication et le droit sorcier.
RESPONSABILITÉS, ACTIVITÉS PARASCOLAIRES • s'il aurait pu tenter de devenir comice comme son père avant lui, Marien a pour une fois suivi ses envies — et, de façon amusante, les pas de son grand-père Auguste, sans le savoir. il s'est concentré sur les activités sportives en rejoignant les clubs de duels et de chasse. il a lorgné le quidditch de loin pendant un temps, mais n'a jamais envisagé sérieusement d'y prendre part : ce n'est pas un sport de nobles.
PATRONUS • il n'en fait que rarement, voire jamais usage, mais il s'est aperçu au cours de ses entraînements que son aigle royal a disparu au profit d'un lion. même ses plus proches amis ne le savent pas, et pour cause : la créature est liée à ses sentiments pour nulle autre Juliette, et il est effrayé de voir leur impact l'influencer si profondément.
Le protocole A l’annonce de la stérilité de Geodor, c'est sur son frère Martial que l’attention se tourna. Choisi très tôt par son oncle après consultation d'une voyante comme le veut la coutume, Marien naquit en tant que potentiel roi et fut élevé pour le devenir.

Enfant ouvert, curieux, incapable de tenir en place, avide de découvertes, Marien a d’abord semblé aux antipodes des révélations de la voyante. Mais la mort brutale de sa mère à ses 8 ans (2007) l'a changé. Entre l'acharnement de la Presse, les théories selon lesquelles l'accident de voiture volante l’ayant tuée était un coup-monté visant à se débarrasser de l’infidèle, les prétendus amis en quête d'informations pour les médias, Marien a peu à peu créé des barrières entre le monde et lui pour se préserver, sans s'apercevoir qu'il se coupait du peuple qu'il voulait satisfaire et protéger. Seule ombre à son attitude « lisse » : la vitesse. Au lieu de développer une peur de ce qui a tué Charlotte, Marien a nourri une passion morbide pour l’adrénaline. Il ne résiste pas à une course de voiture ou de moto volante ; a toujours rêvé de devenir dresseur de dragons sans jamais se permettre de l'envisager sérieusement.

Les notes de la duchesse méfiant, introverti, dévoué, assidu et rigoureux, studieux, distant, barbant, attachant, réfléchi, protecteur, véhément, observateur, esprit de sacrifice, discipliné, loyal, dynamique mais mesuré, volontaire, peu bavard, intègre, aventurier, méthodique, loyal, arrogant, responsable, perfectionniste, rigide, #1 : CONTRÔLE & OCCLUMANCIE. Plus que tout, Marien exècre l'oubli. l'oubli lui fait occulter les traits de sa mère et il est terrifié par cette perte, cette impression de la laisser mourir une deuxième fois. et surtout, il voit sa jumelle, sa moitié, se débattre avec son absence de souvenirs concernant un élément clé de son existence (l'accident) et a eu beaucoup de mal à l'idée de ne jamais savoir ce qui s'est passé ce jour-là. jamais il n'agirait comme les médias et les curieux cependant, l'engloutissant sous des montagnes de questions et remuant sans égards la baguette dans la plaie pour la pousser à retrouver ces bribes perdues d'un passé mis en terre. cependant, c'est là l'une des raisons de sa soif de contrôle - ça et son besoin de tout organiser de façon à ne pas se laisser déborder, ainsi que la nécessité d'ériger des remparts pour qu'aucun vautour n'accède à ses pensées les plus profondes. tout doit être carré et défini et précis et ordonné et compartimenté et maîtrisé. il a entamé son apprentissage à l'adolescence et il s'agissait alors d'une question de survie, vraiment, tant il ne pouvait faire un pas hors de la demeure familiale sans être harcelé.

#2 : MONARCHIE. s'il se veut respectueux de la dignité de tout homme, Marien n'en est pas moins royaliste, éduqué pour raisonner de façon élitiste. il ne voit pas en la monarchie un régime injuste, parce qu'il (en dépit des abus qui caractérisent l'ensemble des systèmes politiques, moldus ou magiques) accorde de la valeur à l'histoire et considère que c'est à travers les siècles que la noblesse, au sens propre du terme, a su se démarquer. ainsi, il se ferme irrémédiablement aux raisonnements qui remettent en doute la légitimité de la famille royale : c'est calomnie à ses yeux que de nier le mérite de ses ancêtres. mais toi, qu'as-tu accompli ? en quoi "bien naître" justifie que tu te places au-dessus du peuple ? — ces interrogations, qui remettent en question sa position selon certains, sont au contraire la trame même de son existence. naître anonyme et se démarquer par la seule force de sa volonté est remarquable, mais se frotter dès le plus jeune âge à de glorieux noms du passés et avoir pour rôle de s'illustrer parmi eux n'a rien d'une sinécure. Marien se sentirait usurpateur s'il jouissait des privilèges de son nom, de son titre, sans rien faire pour les valoir ; mais pour les porter, il a fait du sacrifice, du sens du devoir et du déni de soi les maîtres mots de son existence tissée de concessions et de rigidité. c'est ce qu'on lui réclame et — curieusement — c'est tout à la fois ce qu'on lui reproche.

#3 : PROGRÈS. secrètement, et contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'exècre pas le changement. tout gouvernement se doit d'évoluer en fonction des attentes et des besoins de ses sujets — c'est, pour lui, un fait non négligeable. le problème est que lesdits sujets se composent à la fois de conservateurs , d'adeptes du remaniement et d'ambitieux souhaitant se hisser en hautes sphères, ce qui complique terriblement les prises de décisions. éduqué parmi les premiers et peu familier avec les seconds, il est plus habitué à manœuvrer dans le sens du courant et des traditions, et ne sait donc ni réellement ce qu'espèrent les autres et comment combler leurs attentes sans pour autant se mettre la noblesse à dos. par ailleurs, n'étant encore que Dauphin, il se garde bien d'afficher ne serait-ce qu'une once de volonté de bouleverser le système en place, de crainte d'être catalogué et écarté.

#4 : DISTANCE. Marien pèche par la distance et les barrières qu'il dresse entre le monde et lui. rendu apparemment imperméable par la pratique intensive de l'occlumancie, enfermé par ailleurs dans son univers de théories, d'usages et de lois, il ne peut satisfaire un peuple qu'il ne comprend pas et auquel il est réticent à s'ouvrir. il lui manque l'expérience que seules l'immersion et la proximité confèrent, mais se mélanger, c'est s'exposer. s'exposer, c'est se rendre vulnérable. il ne veut pas. il ne peut pas. pas après avoir subi l'acharnement des médias et les rumeurs erronées et la fascination morbide de parfaits inconnus qui le jugent en permanence. pas, enfin, sans une impulsion extérieure suffisamment convaincante pour le pousser à franchir ce pas terrifiant. il rumine plus souvent que rarement l'insatisfaction que lui inspire sa propre nature introvertie. ce n'est aucunement de la timidité ou de l'isolement, c'est plus complexe — son énergie psychomagique se concentre à travers la réflexion et diminue durant les interactions sociales, si bien qu'il semble moins bavard que les autres au premier abord ; plus en retrait et dès lors, moins abordable, moins déchiffrable. il peut apprécier les interactions sociales, se faire presque passionné durant un débat et rire sans complexe au sein d'un cercle de proches aptes à le mettre en confiance. en tirer, même une satisfaction revigorante. mais c'est par le biais d'activités solitaires qu'il se ressource mentalement, nerveusement, et l'impulsivité lui va mal : il lui faut observer avant de passer à l'action.

#5 : DUEL&ESCRIME. il a entamé son apprentissage très tôt ; armé d'une lame de 77 cm à l'âge de 5 ans, puis d'une baguette à ses 11 ans. à ses yeux il n'est pas que question de prouesse au combat. il en a étudié les différents aspects – le sport, éprouvant et exigent, grâce auquel se défouler, se dépasser physiquement, acquérir souplesse, réflexes, flexibilité, rapidité, coordination, endurance, discipline et stabilité. les valeurs, respect de l’autre, de règles, courage, esprit sportif. l'enrichissement intellectuel, maîtrise de soi, créativité, renouvellement constant, spontanéité qui lui manquait tant au naturel, anticipation, tactiques, précision. mais il a également été formé à l'escrime artistique et à son sens du spectacle, à la beauté et à l'élégance des gestes, au port irréprochable, à la rigueur, à la capacité de s'imprégner d'un personnage pour l'interpréter fidèlement. apprentissage qui l'a fortifié pour affronter le monde. et sans nul doute, Marien y excelle, pour avoir été formé par les meilleurs maîtres d'armes de France et s'être frotté tant amicalement qu'en compétition aux duellistes d'excellence. on n'en attend pas moins d'un prétendant à la couronne.

#6 : CREATURES. Marien, il faut l'avouer, s'entend plus aisément avec animaux et créatures magiques qu'avec les hommes. il a un véritable don pour cela et peut se lier de façon incroyable avec eux, là où il peine à comprendre ses propres congénères. il est d'ailleurs propriétaire de l'un des Gronians de l'élevage de Beauxbâtons, Flèche en robe grise d'un pedigree prestigieux, qu'il a nommé Sleipnir - du nom du cheval à huit jambes d'Odin. Martial en a fait l'acquisition en son nom alors que l'animal était à peine âgé de quelques heures, et Marien l'a vu grandir depuis, gratifié d'heures en sa compagnie et d'un rôle prédominant dans son dressage. étrangement pourtant, et alors qu'ils forment un duo très complice, le jeune prince est attaché de façon plus fusionnelle au palomino ailé à la robe d'or qu'il laisse derrière lui, au domaine familial. nommé plus simplement, Eclipse n'est pas une jument de parade et détonne parmi ses frères alezans, hérésie naturelle plutôt que fruit d'un élevage sélectif. elle garde un côté sauvage, une tendance à se laisser aisément approcher mais à ruer pour jeter au sol quiconque s'essaye à la domestiquer, ainsi qu'un profond dégoût des harnais et des selles, si bien que Marien a refusé qu'elle soit enfermée aux écuries. A la place, elle vit librement sur les terres des Leblois et il est étrangement attendrissant d'assister au manège que sont ses retrouvailles avec son alter ego humain ; telle une épouse furieuse d'avoir été délaissée, elle fait la difficile, renâcle, bat des sabots, l'oblige à la courser et à la remettre en confiance à force de caresses adroites et de promesses et compliments dévoués murmurés à son oreille. il la monte à cru, alors, sans grand souci pour le personnel qui le réprimande en affirmant que ce ne sont pas là des manières dignes d'un prince.
de la même manière, il noue de bons liens avec les chiens albinos de Beauxbâtons, tout simplement parce que levé aux aurores, il profite souvent de sa solitude pour se défouler en leur compagnie, se laisser régénérer par leur affection instinctive et sans calcul.

#7 : COURSES. s'il aime les animaux et leur consacre du temps, Marien n'est pas l'un de ces militants qui s'opposent à tout pour le plaisir de manifester leur insatisfaction. il est, par exemple, un inconditionnel des courses, et se réjouit que Sleipnir soit taillé pour ce type d'activités. il lui est arrivé de participer à des courses de chevaux, pour le plaisir du jeu, mais il préfère y assister, se joignant aux paris dans la mesure du raisonnable. non, le type de course qui fait réellement vibrer Marien n'est pas tout à fait celui-ci. il lui faut le rugissement des moteurs et la robe de métal d'une moto sorcière ou moldue, l'adrénaline, l'impression de basculer dans le vide durant un virage en vol ou de frôler le bitume lorsqu'il dévore les kilomètres pour se sentir incroyablement vivant. passion partagée avec Nolan et gardé secrète, tant pour le plaisir de garder pour eux leurs mystères que pour échapper à l'inévitable controverse qui en résulterait : les courses, bien souvent, sont illégales. son goût pour la vitesse est une addiction.

#8 : CHASSE. activité de plus en plus controversée à l'heure actuelle, mais à laquelle il a été rodé dès son plus jeune âge comme la plus naturelle des occupations. à ses yeux, la pratique de la cynégétique est bel et bien d'un sport, non de meurtres gratuits. permis en main et cruautés inutiles soigneusement exclues, il la pratique sous plusieurs formes, avec ou sans le désir de consommer le gibier après coup. il n'en est pas question à Beauxbâtons par exemple, puisque les cibles sont des Licheurs, créatures des ténèbres considérées comme des démons. sujet de plainte pour certains, là encore - mais Marien toiserait avec amusement quiconque se ferait un devoir de défendre face à lui les droits de ces créatures. leur prolifération et leur nature destructrice le pousse à considérer que les emprisonner correspond à du contrôle de nuisibles, et que les associer à la chasse permet de les réguler. bien sûr, ceux qui se plaignent ne font pas partie des fermiers qui les subissent, ou des sorciers ou moldus ayant eu le malheur de croiser leur regard et de suffoquer, tétanisés par leurs pires cauchemars.

#9 : DRAGONS. sa mère a toujours été très présente, tant qu'il n'a jamais réellement remarqué combien elle se montrait froide et distante vis-à-vis de son père. Marien, en tout cas, n'en a que plus difficilement encaissé le vide qu'elle a laissé. il a le souvenir des histoires de dragons contées à la lueur d'une chandelles, des épopées héroïques et des pirates et des quêtes de trésor qui ont bercé son enfance. c'est futile, enfantin, mais tout cela a contribué à le construire. quand elle a disparu, Charlotte, c'est la mère de Tristan - la duchesse Pénélope - qui a pris la relève, berçant les garçons de récits auxquels Marien ne voulait toutefois plus croire. il s'en veut d'être aujourd'hui encore si fasciné par les dragons. de collectionner des figurines animées par centaines, milliers, dans un coffre à Chantilly, et de connaître les caractéristiques de chacune d'elles comme s'il s'agissait de parcelles de sa propre histoire, de son âme. il jurerait parfois les maîtriser mieux qu'il ne se comprend lui-même... et une part de lui souhaiterait y consacrer sa vie, mais il ne peut pas, ne se permet même pas d'y songer, car son devoir le mène ailleurs.

#10 : FAMILLE. Marien est très attaché à sa famille, en dépit des jeux de pouvoir qui la déchirent. le lien de sang est puissant et pourtant, le jeune homme considère avec tout autant d'intensité ce qui le lie avec ses plus proches amis : Tristan, Nolan et Raphaël. quatuor royal, dit-on pour les désigner. Tristan est un ami, un critique, un conseiller. l'homme fiable, le bras gauche apte à prévenir les obstacles ou erreur, voire à les écarter. Raphaël est le démon sur l'épaule, compagnon magnétique. Nolan, enfin, est son frère. purement et simplement, un bras droit, l'allié auquel il confierait sa vie.

#11 : GENT FEMININE. les rumeurs lui prêtent quantité d'aventures. c'est le fait des tabloïds - après la mort de Charlotte puis la rencontre avec Raphaël de Valverde, le trio d'origine s'est fait quatuor, et l'influence nouvelle a été la porte ouverte à de nombreux excès. sorties inconsidérées, lieux peu recommandables, flash d'appareils photo ; la moindre fille qu'il côtoyait durant ses sorties figurait sur les pages des potins le lendemain, soit pour s'être vanté elle-même soit pour avoir été surprise à ses côtés et dépeintes d'office comme une amante. Marien s'est vu affubler d'une réputation de tombeur alors qu'il n'en était rien, "on dit" amplifiés par des témoignages incessants formulés par ses soi-disant ex. situation fort délicate pour sa renommée mais qui le pénalisait également sur le plan individuel : considéré par un excellent amant par presque l'ensemble de la France, il ne pouvait décemment pas se révéler puceau et fort maladroit dans le domaine... ce qu'il était, pourtant. ce n'est que récemment qu'il s'est finalement aventuré dans les bras d'une femme. Juliette.
il a toujours été très demandé, sans jamais tout à fait savoir si les femmes en avaient après le prince ou s'intéressaient à l'homme qu'il est. aussi a-t-il pris l'habitude d'écarter ou d'ignorer poliment les offres, peu désireux de n'être qu'un titre jusqu'entre les draps. rares sont celles qui s'intéressent réellement à lui, après s'être donné le temps de le connaître ; et rares sont celles auxquelles il en offre l'occasion.

#12 : THEATRE. un conseiller du roi Geodor, secrètement affecté à la gestion de l'image du dauphin (dure tâche que celle-ci), a recommandé que le jeune homme rejoigne la troupe de théâtre de l'école. y ayant des amis, Marien s'est plié à la suggestion après de longues hésitations. mais si jouer un rôle dans le cadre du duel artistique lui sied à la perfection, interpréter un personnage sur les planches va à l'encontre de sa nature. il s'est senti à l'agonie dès les premières heures de répétition. il a fait acte de présence à deux reprises avant de se retirer, ayant démontré avec brio son incapacité à afficher autre chose qu'un visage froid et placide.

#13 : MAINS LIEES. être neveu du roi, dauphin par-dessus le marché, constitue aux yeux du non averti un privilège, ouvre toutes les portes et offre tous les droits. c'est vrai dans une certaine mesure. mais majoritairement faux. supposé se montrer irréprochable, Marien pèse chaque mot, chaque geste. si on le méprise, si on l'insulte, il reste stoïque, ne bout qu'à l'intérieur. même poussé au-delà des limites de sa patience, il a été formaté pour toujours agir de façon maîtrisée, opposer indifférence glacée aux éclats de voix. pris sur le fait en cas d'erreur, il ne peut user de son influence pour s'en tirer blanchi, de crainte de faire porter sur la famille royale des accusations de tyrannie, d'abus de pouvoir. en cela, la présence de Tristan et de Nolan à ses côtés est un atout considérable, imparable, et dont il ne pourrait se permettre de se passer.


L'écrivain anonyme PSEUDO / PRÉNOM • heresy. ÂGE • 24. PRÉSENCE • 7/7 jours. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM • ch'ais pluuuuus ça date. COMMENTAIRE(S) • :keukin: AVATAR • dylan o'brien. CREDITS • maimihina. MOT DE LA FIN • fin.
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Marien Leblois
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Les allégories princières
▲ uc ▼ uc.
2007. Il y a eu un avant, sûrement. Forcément.

Avant le duo de cercueils de marbre blanc, sépultures immaculées plongées dans une terre remuée par un flot de larmes célestes, emprisonnant à jamais le souvenir de sa mère et celui de sa tante. Avant les parapluies aux rebords transparents sur lesquels les gouttes restent brièvement en suspension – quelques secondes à peine pour mieux s’évanouir ensuite en un triste sillon. Avant les sorts d’imperméabilités flottant autour de ceux qui, les mains ainsi libérées, portent gerbes de fleurs, mouchoirs ou, plus loin, appareils photos ensorcelés. Avant le deuil, l’incompréhension, les questions, la désinformation, il y a eu la vie, les rires, et un bonheur qu’on ne creusait pas trop alors, de peur de le découvrir factice.

Il se sent paumé, Marien. Il se sent vieilli d’un coup, à huit ans seulement, comme si le fil de son innocence lui échappe en même temps que cette fleur lâchée sur la surface glacée, en même temps que ces doubles rubans liés, livrés au vent au cours d’un rituel symbolisant les deux vies perdues.

Ils sont là, las, les enfants terribles du Palais de l’Etoile, éteints et hagards en surface, bouillonnants à l’intérieur pourtant, épaule contre épaule — Marien, flanqué de Thomas et Nolan d'une part, d'Ortie de l'autre. Ce n'est pas tout à fait le tableau qui aurait dû être : il y a des règles et un ordre de placement qui ne les aurait pas voulus côte à côte, mais c’est bien là la seule entorse qui leur a été concédée en ce jour de deuil. De temps à autres, il étire la main pour effleurer celle d’Hortense ou d’Angélique, maigre consolation mais motivation à se tenir droit. De temps à autres, aussi, il tourne un regard troublé sur une Eglantine qui avance quelques pas plus loin, mâchoire serrée et rage au cœur.

Ce ne sont pas des sentiments aussi éloignés de lui que son apparent stoïcisme peut le laisser croire. Ça bouillonne, en réalité, juste là, sous la surface. L’envie de froisser les pétales insipides qui ne refléteront jamais ni la douceur ni la fragrance affectionnées de la défunte, ces détails qui déjà se floutent dans sa mémoire (rien d'artistique, c'est seulement frustrant, frustrant, blessant ; et c'est à cet instant sans doute que nait son aversion pour l'éphémérité de la mémoire de l'Homme, son obsession pour les repères claires et précis, gravés à toujours). L’envie de serrer les poings, de hurler (il y a ces pourquoi, pourquoi ? qui hurlent en lui en une litanie destructrice laissée sans réponse). L’envie de voir s’éteindre les flashs et disparaître la flopée de vautours qui s’emparent de la scène, aussi : famille royale capturée au cœur même de son désarroi, instants volés, intimité piétinée. Inspiration, expiration, pas une saccade, souffle régulier. Mine composée – ils ont travaillé les gestes et les actions comme une pièce de théâtre, fait du recueillement une prestation.

Quelque part dans la nuée que forment les médias sorciers, l’objectif d’un appareil éclate sans raison apparente. Marien se fige à peine, brièvement. Il a ressenti à travers l’ensemble de son corps les picotements d’une magie en éveil et pourtant, pas un instant il ne détourne son regard morne du chemin que suit la marche funèbre.  
[...]

2022. « Puis-je m’entretenir avec toi un instant ? » Il affiche un air qu’il veut mesuré, mais qui semble détaché, presque ennuyé. Juliette, pourtant, ne s’en formalise pas — sans doute intriguée de le voir l’approcher de lui-même, en public, pour une fois, au point même d'oser l'interrompre en pleine discussion animée. L'étudiante qu'elle délaisse par la faute du jeune prince semble dubitative ; mais il ne se démonte pas, reste digne, tourne les talons pour la guider à l'abri des regards puisque Juliette consent à le suivre.

Marien, c’est le regard qui le regard qui fixe sa nuque et se détourne abruptement quand elle le surprend. C’est le sourire hésitant, poli et lissé, perturbé par sa façon d’être, réfugié derrière un protocole irréprochable pour contrebalancer la nature libre, imprévisible et culottée qu’est Juliette. Marien, c’est cette façon de la caresser à distance de ses iris captivés, telle une créature affectionnée, désirée — seulement pour imposer brusquement un mur glacé et indifférent entre elle et lui lorsqu’elle l’approche. Marien, enfin, c’est une fâcheuse tendance à lui laisser le mauvais rôle, le soin de faire systématiquement le premier pas pour instaurer le moindre contact — parce qu’il l’appelle de tout son être et la repousse de toute son âme, paradoxe éreintant.

Il est attentif pourtant. Attentif à ses pas qui résonnent derrière lui, à sa proximité, et sous ses traits inexpressifs règne un tumulte bouleversant, une tempête d’émotions barricadées derrière les murs de son Occlumancie. Il a envie (besoin, même) de partager avec elle l’annonce qui vient de lui être hiboutée par l’académie Roumaine réputée pour former les meilleurs dragonniers du monde sorcier. Il a envie de laisser exploser le soulagement et la fierté et la reconnaissance et la satisfaction qui lui font bouillir les veines et dont elle seule peut-être témoin, parce que — « J’ai quelque chose à t’annoncer », prononce-t-il en se retournant sans crier gare. Elle manque de se heurter à son torse et il la stabilise instinctivement en l’attrapant par les avant-bras (l’une de ses mains encombrée par la lettre qu’il veut lui montrer), écopant sans surprise d’un clin d’oeil lourdement suggestif et « Toi et moi dans un couloir vide, on dirait le début d'un roman porno de ma mère », qu’elle lance sans ambages, ni gêne, ni retenue. En temps normal, il l’aurait gratifiée d’un demi-sourire amusé en levant les yeux au ciel, avant de reculer pour redéfinir les limites et distances imposées par les règles de bienséance.

Et tant normal — mais cette fois, c’est un rire vrai qui s’égrène et un ras-de-marée euphorique qui déborde de ses lèvres pour éclairer ses yeux. Cette fois, il la couve de toute son attention, bien qu’elle soit tout près. Trop près. Pas assez. « Vraiment ? Je veux dire — je ne sais pas, je n’en lis pas. » Il fronce les sourcils, ajoute « Evidemment. » Puis secoue la tête, perplexe, en s’apercevant qu’il se laisse emporter, égarer. Lui qui toujours, calcule, mesure, il oublie ses précautions et ses doutes et ses restrictions tandis qu’il se mord la lippe, cherche un moyen de canaliser et d’exprimer tout ce qu’elle lui inspire, laisse courir ses paumes de ses bras à sa nuque, puis son visage, qu’il prend en coupe. « Juliette… » L’espace d’une seconde, sa voix est gorgée d’émotions et troublée, mais les bulles de fierté qui explosent au creux de sa cage thoracique lui arrachent un nouvel éclat de rire émerveillé, et il se laisse aller à buter son front contre celui de la jeune femme. « Je suis pris. Ils ont accepté ma candidature, j’ai reçu la réponse aujourd’hui. » Il la relâche, de sa main pleine, pour laisser le parchemin se dérouler sous ses yeux, et elle explose de la même joie que lui, elle le comprend, elle lui saute au cou en lui hurlant à l’oreille qu’elle le savait, qu’elle le savait, qu’il est un idiot pour en avoir douté, et cette confiance qu’elle a placée en lui alors qu’il n’y croyait absolument pas lui-même grignote tout ce qu’il lui reste de raison. « C’est grâce à toi », offre-t-il dans un énième éclat, de ceux qu’il se permet si peu, en saisissant sa taille pour la surélever et la faire tourner au-dessus du sol, pour le seul plaisir de contempler le bonheur vrai et partagé et honnête qu’elle affiche ouvertement, assume sans complexe. Et lorsqu’il repose la rubissane, c’est le nez frôlant le sien qu’il répète, en un murmure insistant cette fois, « C’est grâce à toi », avant de céder à cette envie presque vitale de capturer ses lèvres, enfin. Simple effleurement d’abord, hésitant et presque révérencieux, remerciement muet qui transmet tout ce qu’il n’arrivera jamais à formuler de vive voix — elle l’a poussé dans ses retranchements, a découvert sa passion, lutté contre ses réticences et contre lui-même pour le pousser à y donner un sens. Mais si elle est parvenue à lui faire remplir le dossier d’inscription, il n’a pas consenti à l’envoyer ; pas avant qu’elle ne le dérobe et ne l’expédie elle-même, prête à faire face à la vague d’outrage, de frustration, de doutes et de stress dont il ne pouvait que la noyer en retour, persuadé qu'on lui cracherait ses espoirs à la figure.

Mais elle est passionnée et entière et il a si souvent rêvé d’oser la clamer sienne, sans se l’avouer, que le contact le rend avide. Ce sont des sensations nouvelles ; le corps de Juliette pressé contre le sien, tout en courbes délicieuses et en ferveur désinhibée, n’est en rien comparable aux vagues étreintes auxquelles il s’est essayé avant elle, mal à l’aise et maladroit. S’il s’est vite détaché autrefois, laissé froid et indécis par ce qu’il ne voyait que comme un mélange inconfortable de fluides biologiques peu plaisants, il se surprend à quémander plus, de sa bouche impatiente et de ses mains curieuses ; à jouer sur son épiderme tendre une mélodie improvisée, les phalanges frénétiques et désireuses de l’apprendre par cœur, de la marquer durablement de leur empreinte, de tatouer sur sa peau l’intensité de son désir. « Arrête-moi », supplie-t-il pourtant, alors qu’il délaisse les lèvres rougies de la jeune femme pour parsemer de baisers gourmands sa mâchoire, puis son cou. Mais elle le bascule au contraire pour lui y laisser un libre accès, en le défiant de son regard taquin et embrumé de s’arrêter lui-même, de lui résister, et Marien émet un son étranglé en se damnant contre sa peau.

Il a le palpitant affolé pourtant et quelque chose, quelque part en lui, le raccroche à la terre ferme, malgré la frénésie de leurs corps qui se cherchent et qui agrippent et tâtonnent et découvrent et enivrent. Elle a les joues rosies de plaisir, Juliette, et il ne sait pas quand ses mains se sont glissées sous sa jupe, mais il sait qu’il est dangereusement proche de l’implosion et — il secoue la tête, fébrilement, mortifié. « Juliette, je — » et il détourne le regard pour ne pas voir son chemisier ouvert, tentateur, et ses yeux écarquillés, pleins d’interrogations. « Je ne peux pas — je ne sais pas — » Inspire. Expire. En dire plus, c’est se mettre à nu. C’est se ridiculiser et nier les rumeurs, mais se taire sera pire, parce qu’elle saura de toute façon. Il s’entend à peine penser par-dessus le rugissement assourdissant du sang qui lui bat aux tempes. « Il vaut mieux qu’on arrête, je risque de te décevoir. » Il grimace, comme s’il lui était physiquement douloureux de faire cet aveu, égo froissé. Mais d’une caresse sur sa joue elle balaye ses inquiétudes. « Tu pourras jamais me décevoir. » Informels, les mots simples et sans détours qu’elle lui lance comme des flèches en plein cœur pour terrasser sa gêne. Insolentes, les mains qu’elle accroche à la boucle de sa ceinture, là où nulle autre qu'elle ne l'a jamais touché. Brûlant et impudique, l’accord qu’elle lui lance à travers ses longs cils, les paupières mi-closes et les prunelles pleines de promesses.
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Elysée L. Berthelot
You don't mess with LOVE, you mess with the TRUTH.
Elysée L. Berthelot
❝ HIBOUX : 1142
❝ AUTRES VISAGES : Valentine de Boisbleau
❝ CÔTE DE POPULARITE : 4298
❝ MIROIR : Leighton Meester.
❝ CREDITS : Everdeen, Tumblr, Wild Hunger.
❝ DIALOGUES : indianred
❝ ÂGE : Vingt-quatre ans.
❝ STATUT SOCIAL : Petite Noblesse (héritière du Comté d'Anjou).
❝ OCCUPATION : Beauxbâtons, en huitième année. Parcours social et politique. Comice Rubissane et membre du Cercle de la Rosière.

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Invité
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... tu ne me facilites pas la vie toi XDD
(j'adore O'Brien mais il est quand même moins sexy que tes deux autres comptes :hide: )

bon courage pour cette fiche 4 - (marien) uneasy lies the head that wears a crown 1060857654
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Capucine Lescieux
Capucine Lescieux
❝ HIBOUX : 123
❝ CÔTE DE POPULARITE : 3087
❝ MIROIR : Emilia Clarke
❝ CREDITS : jukebox joints +av
❝ ÂGE : vingt-deux ans.
❝ STATUT SOCIAL : roturière, fille illégitime qui s'ignore du Duc d'Aquitaine.
❝ OCCUPATION : étudiante rubissan (parcours mystères de la magie), second du chef des Compagnons.

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ce que Marien a dans son Ipod ;s et toi IRL.
I see you.

RESTE LA LALALALALALA MY LOOVE UN GENTLEMAN SAIT COMPRENDRE AMICALEMENT HOHOHOHO AMOUREUSEMENT :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: :gaah: ptdrr tu me fais vraiment écouter des tubes magiques toi :jule:
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