ignis invictus ☄

Orna Lilith Cheval

Lighting matches just to swallow up the flame like me?
do you call yourself a fucking hurricane like me?

Carte d'identité NOM, PRÉNOM(S) • Cheval, directe descendante des frères Hippolyte et Timothée Cheval, qui firent partie de la première vague de colons en Nouvelle-Calédonie dans les années 1860. Prédestinée, elle a grandi dans sa belle savane à dos de mustang. Orna Lilith, le ton est donné. La féroce simplicité - quatre syllabes et un avertissement.
AGE, NAISSANCE • née un vingt-neuf octobre, sous le dangereux signe du scorpion, aux alentours de Nouméa, elle a vingt-et-un ans.
NATIONALITÉ • pur produit caldoche, administrativement française, elle n'utilise pourtant pour se définir qu'exclusivement le terme calédonienne. Elle vient du bout du monde, là où la magie est éléments, et non arabesques.
ASCENDANCE • rien que du sang humain, originellement normand, s'étant exporté au bout du monde. Un vague métissage kanak dans l'arbre généalogique bien que, aléas de la génétique, elle a pris de cette branche la magie imprévisible, mais non les couleurs. Son petit frère, lui, a les cheveux marrons et la peau cuivrée de la Grande Terre.
TITRE • roturière de rien du tout. A Nouméa, les Cheval (ça ne fait saigner les yeux que la première fois, tu t'y habitueras vieux frère) représentent la vieille magie, la bourgeoisie confortable et tolérante, la terre et le cuir. A Paris, elle est l'unité dans la masse, silhouette interchangeable sur les pavés.
ANNÉE D’ÉTUDE ET CURSUS • en sixième année, elle réalise actuellement son DIADEMS en sciences magiques, dans le but de reprendre la manufacture de baguettes de son père, extrêmement célèbre en Nouvelle-Calédonie. Orna passe ses heures libres à rédiger son mémoire traitant des questions de légitimité des coeurs de baguettes non-consensuels - et tu meurs d'envie de le lire.
JOB ETUDIANT • elle réalise dans le cadre de ses études un stage chez Lesaule, le marchand de baguettes, mais force est de reconnaître que c'est à contre-coeur : elle a grandi dans la boutique similaire de son père, autrement plus réputée et fascinante. Concurrence déloyale à peine clandestine, elle arrondit ses fins de mois en réparant les baguettes de ses camarades de classe à bas prix, qui lui font confiance car connaissent son background de baguettiste. Et puis, pour ceux qui savent pencher la tête et baisser la voix, la rumeur court que Orna fait du trafic de magie grise et rose, des maléfices et sortilèges kanaks puissants, telluriques, inconnus de ce côté de l'hémisphère. Contre quelques pièces et quelques services, elle vous révélera l'amour, la revanche, l'oubli. Rien de trop légal, certes, mais la vie est trop courte pour se plier aux règlements.
RESPONSABILITÉS, ACTIVITÉS PARASCOLAIRES • assez occupée par ses études, les baguettes, les rendez-vous, les murmures, Orna n'a pas le temps pour le reste... Sauf pour le Quidditch. Elle est gardienne. Elle aime trop le vol pour s'en passer, et sa collection de balais, à la maison, est impressionnante.
ECRIN • choix 1 : (rubissan), rubis de la première espèce, Orna possède la fougue de son patronyme et le feu de sa terre natale. Ses idéaux politiques ne sont pas aussi polarisés que ceux de la plupart de son écrin - ou c'est ce qu'elle donne à croire. Trop sauvage pour apprécier les aristos, elle leur voue un mépris grondant, qui coule dans les veines des Cheval - ces exilés, ceux qu'on a envoyé au bout du monde - depuis plusieurs générations.
choix 2 : (jaderial), née parmi la terre et la poussière, Orna se distingue par son obstination. Extrêmement loyale à ceux qui s'en sont montrés digne, et fidèle à son propre spectre de justice, elle a une vision aigüe de ce qui est juste et ne l'est pas - malheur que celle-ci ne corresponde pas à celle de l'état. Sa réussite académique, elle ne la doit qu'à son travail acharné et ses ambitions, pas au nom et aux terres de pôpa.
PATRONUS • une roussette (ravale tes blagues) - grande chauve-souris emblématique de son île, dont la tête ressemble à celle d'un renard.
GROUPE • roturiers.

Le protocole Descendante directe des premiers colons sorciers français, Orna est née et a grandi en Nouvelle-Calédonie – dans la savane, la chaleur, les étoiles visibles et la puissante magie tellurique. Son père est propriétaire de la baguetterie Cheval, première manufacture de baguette du continent océanique, et elle étudie actuellement en sciences magiques dans le but de reprendre le commerce une fois son diplôme en poche. Sa prérogative : offrir une varité de coeurs de baguettes allant au-delà des habituels poils de licorne et plumes de phénix. En plus de buts précis et d'un travail sans relâche, Orna c'est d'abord et surtout une tête brûlée, des yeux de lynx, un nez au vent. Elle aime la nuit, le risque, les étrangers, le soleil de plomb, la terre battue. Les aristos et leurs petits doigts levés, elle leur voue un mépris sourd – question de principes. Ayant baigné dans la magie kanake ancestrale, complètement inconnue en métropole, Orna fait commerce de sorts et de maléfices en échange de divers services et rémunérations. Trois fois rien, une malédiction par ci, un puissant sort d'amour par là… Ce que vous faites de ce savoir, elle s'en lave les mains.

Les notes de la duchesse indépendante, tête brûlée, fourbe, impétueuse, obstinée, secrète, intrépide, fière, loyaleelle n'a peut-être pas de #cicatrice en forme d'éclair, mais elle a une constellation de grains de beauté sur l'épaule qui reproduit presque exactement la grande ourse, et c'est plus sexy d'abord. • son truc, c'est les sorts. on lui demande souvent des philtres d'amour, mais c'est sans compter sur son inaptitude gênante en #potions. d'un fiasco en deuxième année elle garde une petite cicatrice blanche en forme de croissant de lune près du pouce. du coup, elle se fait aider en potions afin de réussir. • à nouméa, entre la boutique de papa dans le centre sorcier, et le ranch familial sur les hauteurs, orna était systématiquement perchée soit sur un cheval, soit sur un balai. belle métaphore de ses deux grandes passions, sa terre et la magie, elle soupçonne ses talents de cavalière de la rendre si à l'aise sur son #nimbus. • l'état a beau la dire française, elle a vraiment du mal à y croire. car orna, elle se passionne pour le balai gracieux et brutal du quidditch, la force humaine en action, la pureté des airs... pendant que ces odieux #aristos encapés trouvent agréable d'aller courir après des licheurs. ce putain de complexe divin, faire voir le jour à des créatures dans le seul but de déterminer de l'heure de leur mort, ça lui donne la nausée. elle respecte trop la nature pour altérer son équilibre. • orna passe beaucoup de temps aux #écuries d'airain, à observer ou s'occuper des bêtes, qui lui rappellent chez elle. elle a même reçu du palefrenier l'accord de partir en promenade avec les moins nobles d'entre eux, tant qu'elle les nettoie et les nourrit à son retour. au vu de son patronyme, cela en a déjà fait ricaner plus d'un, à son arrivée ici - mais elle a découvert avec intérêt que le rire sort difficilement d'une cage thoracique suspendue. levicorpus dans ta face, crétin. • derrière ses airs de fille des grands espaces, son côté "aristos-au-bûcher", orna = #esthétique. bagues tribales, cheveux au vent, capes aux reflets cuivrés... son apparence est peu laissée au hasard et se veut indiquer qui elle est au premier regard. elle prend note de ses cours dans des épais carnets couverts de runes, plutôt que sur de larges feuilles de parchemins aérées. les murs de sa chambre, à beauxbâtons, sont recouverts de gris-gris, de masques, de tableaux. son instagram est tout en contraste grande terre/ville lumière. même sa baguette, réalisée sur mesure par son père, est parcourue de veinures remplies à la feuille d'or, lui donnant un air précieux et irréel. • elle est extrêmement #superstitieuse. à vrai dire, quand on tient pour fait avéré que la magie existe réellement, il serait bien stupide de ne pas l'être. de nombreuses manies font partie intégrante de son quotidien pour s'éviter le mauvais sort, oscillant de la crainte à passer sous une échelle à son habitude étrange de mettre du sucre sur l'appui de fenêtre de sa chambre. • courante en nouvelle-calédonie, plus rare en métropole, orna accorde beaucoup d'importance à la magie #silencieuse - tellement plus noble, mais tellement plus complexe. elle s'entraîne beaucoup, aspiration utopique de ne plus jamais nécessiter les mots pour contrôler sa magie.

Les allégories princières

je suis le singe qui se balance là-haut, la sioux qui fait un tee-pee de ta peau.

d'ailleurs j'ai horreur de tous les flons flons
de la valse musette, et de l'accordéon

Le résultat du vote démocratique fut formel : l'amulette ésotérique en plumes de cagou n'était pas absolument indispensable à la survie en métropole. Orna la reposa à contrecœur sur la commode d'acajou, entre un roman d'aventure sorcier et un microscope en cuivre. Elle envoya une dernière blouse couvrir la pile d'affaires déjà tour-de-pisesque – tout en sachant que le climat parisien ne la laisserait probablement pas la porter plus de deux fois sur l'entièreté de sa scolarité – et appuya ses paumes à plat sur le dessus ridé de la maille en cuir. Elle se referma en un 'clic' sonore qui retentit dans la chambre comme symbolisant, pour les trois personnes présentes, bien plus que boucle de métal contre fermoir. La fin de l'enfance. L'angoisse calibrée. Un roman d'aventure inversé. Et, en fin de bouche, comme un arrière goût de trahison. Orna tourna les yeux vers Etienne, qui gardait les siens obstinément rivés sur la colline à travers la fenêtre, ne lui offrant que son profil taillé à la serpe. Lorsqu'il sentit le regard de sa sœur sur lui, il pivota légèrement jusqu'à lui tourner entièrement le dos. Tant que Beauxbâtons n'avait été qu'un point à l'horizon, agitant vaguement son marbre et ses uniformes satinés dans la distance, il avait été son meilleur ami. Son complice depuis leur genèse, couchers de soleil incandescents et cavalcades bruyantes autour du ranch. Depuis que la malle aux initiales O.C. avait été déposée au centre de la chambre d'Orna, la jalousie avait infecté la maison. Subtile au début, simple odeur de brûlé qui flottait de pièce en pièce. Pernicieuse ensuite, s'insinuant dans les nervures du plancher, dans les fibres du velours des tentures, jusqu'à se loger sous la peau d'Orna, dans le creux entre ses deux sourcils. Maman, assise sur le lit, laissa échapper un râle qui se voulait comédie, mais qui ne parvenait pas totalement à masquer l'émotion sous les paupières. Putain de famille d'extrémistes sentimentaux, tout en larmes et poings serrés. "Je serais seulement à une poignée de Poudre de Cheminette…" tenta-t-elle d'expliquer. Argument de réconfort complètement annihilé par le fait qu'il avait déjà été utilisé à soixante reprises. "Je sais", articula sa mère, sans le son. Avant qu'Orna n'ait pu ajouter quoi que ce soit, la sorcière plus âgée avait quitté la pièce, moulinant des poignets pour tenter de se contenir. Parce qu'il n'y avait plus qu'eux, et que le silence était sur le point de devenir le protagoniste, Orna fit un pas en direction de son frère. Elle aurait voulu mettre une main sur son épaule, contact nécessaire de ceux qui avaient tout partagé. Elle aurait voulu lui dire qu'elle était désolée, qu'il ne méritait pas de rester en retrait. Que, plus que tout, elle aurait voulu qu'ils puissent vivre cette aventure à deux. Que c'était la première fois qu'ils allaient être séparés et que - même s'il était bien trop égocentrique et mélodramatique pour lever les yeux de son propre nombril – elle aussi, ça la terrifiait. Elle aurait voulu lui dire que, pour l'amour d'Agrippa, ce n'était pas sa faute à elle s'il était né Cracmol. Que ce n'était pas une question de vase communiquant. Qu'elle ne l'avait pas privé de pouvoirs pour s'en accorder plus à elle. Qu'il devait arrêter de faire la tronche, car sa soeur avait besoin de réconfort. Mais c'est ça le problème avec les tabous. Par définition, on ferme sa gueule. Alors, à la place, elle lui dit. "On sort les balais avant qu'il ne fasse nuit ?"

Monsieur, pour conserver ma gloire et mon estime,
Désobéir un peu n'est pas un si grand crime.

Orna croisa les jambes et poussa les clavicules en avant. La haute société, écrivait Cornelius Agrippa, est une basse-cour. Le point revient à celui qui sait ébouriffer ses plumes. "Sauf votre respect," commença-t-elle, sourire farouchement angélique entre les joues, "je n'ai pas la moindre idée de ce dont vous parlez." Yvelin, la directrice, ouvrit un tiroir du secrétaire de son bureau (acajou blanc, ne put s'empêcher de remarquer Orna. Probablement plus d'un siècle) et en sortit une fiole qu'elle déposa devant la jeune fille. Le soleil de fin d'après-midi, rentrant en torrents à travers les hautes fenêtres, percuta le liquide violet à l'intérieur et se distilla en une centaine de paillettes stellaires sur les murs. "Je parle de ceci". Orna se pencha en avant et se saisit du contenant, pour le simple plaisir de sentir le verre frais contre sa paume. "Un élève fait circuler des philtres d'amour et des poisons bénins dans l'école," continua la directrice, l'air las de devoir entreprendre une énième métaphorique chasse aux sorcières. "A l'évidence, cela est hautement réprouvé par le règlement, et se doit de cesser au plus vite." "A l'évidence," imita Orna en reposant la fiole devant elle, et la poussant du bout de l'index dans la direction d'Yvelin. "Cela dit, qu'est-ce qui vous fait croire que je sois impliquée ?" La sorcière tirée à quatre épingles sembla mal à l'aise. Pauvre Aliénor, prise en flag' de délit de faciès. Orna se serait presque sentie coupable de lui tirer à ce point les traits, si elle ne venait pas d'être accusée, en un doux vendredi après-midi, de trafic illicite de substances magiques. La directrice sembla décider de jouer cartes sur table, et croisa ses longs doigts secs sur l'acajou vieux d'un siècle. "Contrairement aux idées reçues, je ne suis pas absolument sourde quant à ce qu'il se passe entre les murs de mon établissement." Le ricanement qu'Orna mourait d'envie de formuler resta prudemment logé sous son diaphragme. "Mais quelques rumeurs vous concernant sont arrivées jusqu'à mes oreilles et-" "Et," l'interrompit Orna, quelque part entre insolence et préoccupation, "ayant vous-même été élève à Beauxbâtons, vous savez parfaitement qu'il vaut mieux ne pas écouter les bruits qui courent." Et il n'y avait rien à opposer à cela, car il était de notoriété publique que chaque étudiant vivait une double vie entre les lèvres de ses camarades. Elle aurait apprécié s'en tenir là, observer avec plaisir Yvelin se débattre dans le vide de ses soupçons, laisser planer le doute. Pourtant, ayant grandement à gagner à ce que personne ne vienne soulever les pierres sous lesquelles ses larves se terraient, elle posa les paumes à plat sur le bureau. "Ecoutez, vous pouvez vérifier mon dossier. Il est impeccable. En plus, je n'ai jamais obtenu que des R en Potions. J'ai un tuteur. C'est la seule matière qui me pose problème. Pensez-vous réellement que je parviendrais à brasser un philtre si lumineux?" Elle ponctua la rhétorique d'un dodelinement de tête presque désolé. Ironie dramatique : procédé dramaturgique reposant sur une situation dans laquelle un personnage ignore un élément important de l'histoire que le spectateur, lui, connaît. Pauvre Aliénor, bis. Le bon criminel, mais le mauvais crime. Consciente d'avoir remporté le point, Orna se leva et lissa la jupe de son uniforme. "Si j'entends quoi que ce soit, je vous le ferais savoir." Yvelin bredouilla des excuses et l'autorisa à prendre congé. Lorsque la jeune sorcière quitta le bureau, refermant soigneusement la lourde porte en chêne derrière elle, elle fut directement abordée par une Léopoldine inquiète qui l'avait attendue dans le hall. "Alors ?" lui demanda son amie. Orna haussa les épaules. "Alors rien. Mais si jamais tu cherches un condensé pur d'Amortentia, 'paraît qu'il y a un gus dans les parages qui est dans le business."
L'écrivain anonyme PSEUDO / PRÉNOM • ivy ÂGE • vingt-et-un PRÉSENCE • 4/ 7 jours. COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM • bazzart, sans originalité COMMENTAIRE(S) • le design et le codage sont des merveilles, non mais franchement :ptikeur:

puis la partie "protocole", c'est du génie. AVATAR • luca hollestelle CREDITS • jukebox joints MOT DE LA FIN • big up à heresy pour ses précieux conseils et son existence sur la planète en général.

Bienvenue parmi nous joli Cheval I love you

BIENVENUE

J'adore tout: le pseudo, l'avatar et le début de la fiche. J'ai hâte, hâte de lire la suite ignis invictus ☄ 2732716824

Invité

graaaouh j'aime quand les coïncidences s'enchaînent entre nous comme ça ignis invictus ☄ 3681568065

j'ai failli prendre Luca, et Lilith c'est l'un de mes pseudo préférés / celui d'un de mes perso actuels, je. haaaaan c'est tout con mais en plus du reste ça me fait trop triper quoi ignis invictus ☄ 1588408449

BIENVENUUUE, j'avais tellement hâte de te croiser de nouveau, et te voilà, FEELS :ptikeur:

bon courage pour ta fiche et si tu as des questions, n'hésite pas :jule:

SALUT BELLE GOSSE :jule:

Je ne connais pas ton avatar mais OKAY ELLE EST TROP BELLE, et puis une calédonienne, la classe. brille

Bienvenue sur le fo et bonne chance pour ta fiche ! I love you

(et si je ne m'abuse on se connait twa et mwa, ici Bella de Parenthood ignis invictus ☄ 322713977

)

erendis, merci votre altesse - pfiou, ce personnage ignis invictus ☄ 1060857654

elysée, mais comment ça me fait trop trop plaisir, si tu savais, j'ai toujours peur de partir trop loin avec mes persos alors tu me rassures ignis invictus ☄ 1588408449

BABYDOLL, are you fouting of my gueule? parce que moi, baby bridget c'était une de mes premières idées avant de voir qu'elle était déjà dans le bottin - et t'en veux une belle, de coïncidence ? toi en rose weasley et moi, énorme shippeuse scorose avec ma petite fanfiction... putain, qu'est-ce que l'univers veut nous dire, c'en est presque flippant :gaah:

merci pour tout bébé chat, plein de love dans ta direction :ptikeur:

tristan, mais c'est ma chica ! y a congrès parenthood ici, ou quoi ? ignis invictus ☄ 1571359106

t'es presque aussi belle qu'en belle latina, du coup je te renvoie le compliment ignis invictus ☄ 322713977

merci pour l'accueil les mignons, et si qui que ce soit cherche des liens, qu'il le fasse savoir (a)

Invité

Orna Cheval a écrit:: qu'est-ce que l'univers veut nous dire

WE WERE MEANT TO BE ignis invictus ☄ 797696544

MA POPPY (ici Cole de Parenthood ) je suis contente de te voir ici
bienvenue parmi nous ma belle

MAIS WHAT, squad presque au complet ici :woot:

bonheur de te retrouver chaton :hihi:

J'adore ta fiche pour le moment, elle donne vraiment très envie d'en savoir plus sur Orna ignis invictus ☄ 3584230027

J'attends un lien, évidemment, elle pourra même haïr Narcisse si elle veut :jule:

Bienvenue parmi nous ignis invictus ☄ 1683917914

rohlala, merci, surtout après cette fiche que tu nous as pondu (et que j'ai stalké sans complexe (a)

)

ce sera avec immense plaisir pour le lien, à vrai dire j'ai presque déjà des idées :hihi:

Le pseudo, l'avatar, toussa, OULALA ignis invictus ☄ 491416638

Bienvenue

merci beaucoup, c'est adorable ignis invictus ☄ 3681568065

Félicitations & bienvenue

je te valide avec grand plaisir, j'ai dévoré ta fiche et c'était délicieux brille

j'ai hâte de voir la belle Orna en rp ! I love you

La répartition ;

Merveille d’ingéniosité signée de la baguette de Nicolas Flamel, la Fontaine captive l’attention des étudiants qui l’encerclent. De son fond parsemé de mille pierres chatoyantes aux miroitements nacrés de l'eau qui y ondoient sans discontinuer, elle est somptueusement imprégnée de la féérie, la beauté de Beauxbâtons, glorieuse Académie dont on t’a longuement vanté les mérites. Les pierres elles-mêmes, tu le sais, n’ont rien d’anodin : elles sont envoûtées, vouées à accompagner tout au long de leur scolarité les élèves auxquels elles reviendront de droit — de la cérémonie de leur répartition à l’obtention de leur ultime diplôme.
Dans un silence religieux, attentifs aux indications des enseignants, les adolescents observent ton avancée et, d’un pas assuré, tu te soumets à la magie de l'exquise Fontaine. C’est une sensation étrange : l’eau se reflète sur tes traits, elle te sonde, discerne ta personnalité. Au terme d’un moment de méditation, l’une des pierres se détache de ses consœurs et jaillit à la surface. Elle est tienne, symbole de l’écrin auquel tu appartiens désormais : Rubissan. Tu n’as pas le temps de te pencher pour la saisir : sous tes yeux ébahis, l'esprit ancestral de la Fontaine se matérialise. Tu n’en distingues que la fine main, féminine, translucide et faite d'eau, qui te rejoint paume ouverte pour t’offrir sa pierre.

Te voilà officiellement élève à Beauxbâtons.
Et ensuite ?

Félicitations, tu as passé l'épreuve de la présentation avec brio ! Il est temps à présent de penser à quelques points essentiels : il te faut passer par la case fiche de relations [ portoloin ] et, bien sûr, vérifier que ton personnage est correctement répertorié dans les différents registres du forum. Tu peux également nous faire part de tes recherches [ portoloin ] et de tes [ scénario ]. En dehors du rp, tu appartiens désormais à l'équipe dragon : pour pimenter l'ambiance, rien de tel qu'un petit jeu de compétition, rapportez le plus de points à votre équipe afin de profiter de petites surprises, plus d'informations par ici [ portoloin ]. Pour finir, n'hésite pas à profiter des actualités et de la technomagie [ portloin] mise à ta disposition.

En cas de besoin, le staff se tient à ta disposition. Amuse-toi bien !